Le tonomètre affiche deux valeurs numériques, dont l’une est légèrement supérieure à l’autre. Par exemple 110/70 ou 120/80. Ces nombres, SYS (systole, première valeur) et DIA (diastole, deuxième valeur), montrent le travail du muscle cardiaque dans différents états.
Qu’indique la limite supérieure de la pression artérielle ?
Pression systolique (supérieure) – pression sur les parois des vaisseaux sanguins lors de la contraction du muscle cardiaque (systole). Un indicateur supérieur élevé avec un indicateur inférieur normal est considéré comme une manifestation d’une maladie cardiaque.
La pression diastolique (inférieure) est la pression exercée sur les parois des vaisseaux sanguins lors de la relaxation du muscle cardiaque (diastole). Un indice inférieur élevé avec un indice supérieur normal est un signe d’athérosclérose ou de maladie rénale.
Chez une personne en bonne santé, la tension artérielle diminue pendant le sommeil et augmente pendant l’activité physique. Ses normes changent progressivement avec l’âge. Indicateurs adéquats à l’adolescence – 110/70, chez les adultes – 120/80, chez les personnes âgées, c’est-à-dire au moins plus de 50 à 60 ans – pas plus de 140/90.
Que signifient l’hypertension et l’hypotension ?
Cela inclut la pression systolique et diastolique. Ce sont respectivement les indicateurs supérieur et inférieur. AN est un marqueur utilisé pour juger de la force des contractions.
Qu’est-ce qui affecte les niveaux de tension artérielle ?
Tout d’abord, le fonctionnement de l’aorte et des grosses artères, agissant comme une sorte de tampon. Par conséquent, un effet négatif sur les tissus corporels et les organes internes est assuré.
Si vous décrivez le processus simplement et sans termes médicaux compliqués, cela ressemblera à ceci :
1. Le péricarde se contracte et la valvule aortique se ferme. À ce stade, le cœur reçoit du sang des poumons, saturé d’oxygène.
2. Ensuite, la diminution se reproduit. Le sang afflue vers tous les organes.
La pression artérielle se forme en raison d’un grand nombre de facteurs. Il s’agit du nombre de battements cardiaques et du volume systolique, c’est-à-dire. la quantité de sang éjectée par contraction, la résistance vasculaire périphérique et le volume de sang circulant. Tous ces facteurs forment la pression artérielle.
La pression s’adapte toujours à notre charge de travail – tant physique qu’émotionnelle. Si une personne est en bonne santé et que l’augmentation de la pression n’est pas associée à un infarctus du myocarde initial, des mécanismes compensatoires réguleront eux-mêmes la pression et elle se rétablira au bout de 20 à 30 minutes.
Règles pour mesurer la tension artérielle
Il faut le faire en position assise, s’appuyer sur le dossier de la chaise, poser sa main sur la table ou sur l’accoudoir au niveau du cœur, mettre le brassard deux doigts au dessus du pli de la main, il doit correspondre au taille de l’avant-bras. Il n’est possible de mesurer à nouveau la pression du même bras qu’après 5 à 10 minutes, car l’artère brachiale est comprimée et après la mesure, elle devrait retrouver son tonus précédent.
Que faire si la pression est différente de la norme
Très souvent, le traitement à domicile entraîne des conséquences désastreuses. Seul un professionnel peut choisir le bon traitement antihypertenseur. C’est pourquoi, en cas de forte augmentation de la tension artérielle, il est nécessaire d’appeler une ambulance et de ne pas prendre de médicaments vous-même. Parfois, une augmentation de la pression peut être une réaction protectrice du corps face à une pathologie grave, et un traitement irréfléchi peut perturber le travail des mécanismes de défense compensatoires et causer des dommages.
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Source : Hôpital Zeiska